SAQ: à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire

Ma réponse à Mme Sandrine Thériault, présidente du Syndicat du personnel technique et professionnel de la SAQ (SPTP-SAQ).

À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. C’est par la concurrence que la SAQ deviendra encore plus dynamique, innovante et efficiente. Et par l’apport des petits cavistes, nous pourrons augmenter le choix de produits disponibles au Québec, offrir une expérience client plus personnalisée, et donner aux consommateurs un meilleur prix…

Lire le texte d’opinion au complet: https://www.lesoleil.com/opinions/point-de-vue/saq-a-vaincre-sans-peril-on-triomphe-sans-gloire-f757ddb683da974f9a7639e4f06aa94c

Des cavistes à la rescousse

OPINION
Des cavistes à la rescousse

Le modèle des camions de rue pourrait être appliqué à l’alcool et favoriser une plus grande diversité de produits

Mon article d’opinion paru dans La Presse, 11 juillet 2015.

Pourquoi ne pas essayer, dans un premier temps, un petit projet pilote permettant l’ouverture de cinq à huit petits cavistes indépendants ? Le choix des cavistes se ferait par appel à candidatures. Chacun devra présenter un concept de boutique spécifique et original. Le gouvernement sélectionnerait les concepts apportant le plus de valeur ajoutée aux consommateurs, en termes d’originalité et de choix, mais aussi de localisation (pas seulement Montréal et Québec).

Pour lire l’article:
Les cavistes à la rescousse!

La fin du monopole détenu par la Société des alcools du Québec? Les matins d’ici avec Philippe Marcoux

La fin du monopole détenu par la Société des alcools du Québec?

Les matins d’ici avec Philippe Marcoux, Radio-Canada Outaouais, 1er sept. 2015.

La Commission de révision permanente des programmes recommande la fin du monopole détenu par la Société des alcools du Québec. Une bonne idée? La réponse de Frédéric Laurin, professeur d’économie à l’Université du Québec à Trois-Rivières et auteur du livre « Où sont les vins », portant sur la distribution des vins et des alcools au Québec.

Libéraliser sans tuer la Société des alcools, Journal de Montréal

Libéraliser sans tuer la Société des alcools

Des experts en faveur d’une mixité privée-publique

Journal de Montréal, Jean-Sébastien Marsan, 31 août 2015

Libéraliser la distribution du vin et des spiritueux au Québec tout en préservant la Société des alcools (SAQ) permettrait d’améliorer l’offre de produits, d’augmenter le volume des ventes tout en diminuant les prix.

https://www.journaldemontreal.com/2015/08/31/liberaliser-sans-tuer-la-societe-des-alcools

 

Le vin beaucoup plus cher au Québec

30% de plus qu’ailleurs

Le vin beaucoup plus cher au Québec

En comparant les prix de bouteilles populaires, on remarque une différence importante

Les Québécois sont de grands buveurs de vin. Et la Société des alcools du Québec (SAQ) n’hésite pas à faire payer beaucoup plus cher les vins préférés des Québécois.

Ce sont ainsi les bouteilles de vin les plus vendues, soit celles qui affichent un prix variant de 10 $ à 15 $, qui ont été choisies par la société d’État pour rapporter le maximum de profits.

En comparant les prix des 10 vins les plus vendus par la SAQ avec ceux d’autres provinces canadiennes, on remarque une importante différence de prix.

 

Place aux cavistes, La Presse

Article d’opinion publié dans La Presse

Publié le 08 février 2013 à 06h00 | Mis à jour le 08 février 2013 à 06h00
Place aux cavistes
On attirerait une frange importante de consommateurs actuellement peu intéressés par le vin, soit à cause des prix trop élevés, soit par manque d’intérêt ou de connaissances oenologiques.Photo David Boily, archives La Presse

Place aux cavistes

Voici mon article d’opinion paru dans La Presse le 8 février 2013

Dans une récente chronique, Alain Dubuc propose de briser le monopole de la Société des alcools du Québec, en suggérant, par exemple, l’ouverture du marché à des petits cavistes, mais seulement si cette formule permettait à l’État de recueillir les mêmes revenus.

Voilà une idée que je défends depuis plusieurs années. Dans une étude en mars 2012, j’avais justement estimé l’impact d’une telle libéralisation sur les finances du gouvernement du Québec.

La libéralisation partielle du marché consiste à autoriser de petites boutiques de vin (cavistes) à importer, distribuer et vendre librement des vins et des alcools au Québec, parallèlement à la SAQ. Ce réseau de cavistes permettrait d’offrir aux consommateurs québécois une plus large diversité de vins et d’alcools à des prix plus abordables, et de bénéficier d’un service à la clientèle dynamique et plus personnalisé.

Pour lire la suite:

Place aux cavistes

Faut-il mettre fin au monopole de la SAQ ? | Québec 12-30 | ICI Radio-Canada Première

Faut-il mettre fin au monopole de la SAQ ?

Québec 12-30 | ICI Radio-Canada Première, le mercredi 6 février 2013

Le débat vient de refaire surface encore une fois avec une demande de recours collectif contre la Société des alcools du Québec. On reproche à la SAQ d’engranger des profits exorbitants voir déraisonnables au dépend des consommateurs . Faut-il mettre fin au monopole de la Société des alcools du Québec ? Est-ce qu’une plus grande concurrence est souhaitable ?

Invités:
Kier-Yann Bouteiller, enseignant de sommelerie à l’École hôtelière de la Capitale

Frédéric Laurin, professeur en économie à l’Université du Québec à Trois-Rivières ( économie de la distribution du vin et des alcools)

http://ici.radio-canada.ca/emissions/Quebec_12-30/2013-2014/chronique.asp?idChronique=272811

Le vin moins cher en Ontario, prouve un chercheur, Le Soleil

Le vin moins cher en Ontario, prouve un chercheur

Marc Allard, Le Soleil, 5 février 2013

Les résidents de Gatineau n’ont peut-être pas le droit, mais ils sont nombreux à se rendre à Ottawa pour rapporter du vin de la Liquor Control Board of Ontario (LCBO), l’équivalent ontarien de la Société des alcools du Québec (SAQ).
Du point de vue de leur portefeuille, ils ont bien raison, soutient Frédéric Laurin, professeur en économie à l’Université du Québec à Trois-Rivières.
En février de l’an dernier, M. Laurin a comparé les prix de 47 vins vendus à la SAQ et à la LCBO. En moyenne, la LCBO est moins chère que la SAQ pour tout type de vin, a-t-il conclu. L’écart est plus grand pour les bouteilles moins chères et il l’est moins pour les plus coûteuses.

Les dépanneurs et la vente d’alcool en Ontario | Champ libre | ICI Radio-Canada Première

Les dépanneurs et la vente d’alcool en Ontario

Champ libre | ICI Radio-Canada Première, le mercredi 25 juillet 2012

Frédéric Laurin, professeur d’économie à l’Université du Québec à Trois-Rivières parle de la question de vente d’alcool par les dépanneurs en Ontario comme c’est le cas au Québec.

http://ici.radio-canada.ca/emissions/champ_libre/2011-2012/chronique.asp?idChronique=235033&autoPlay=