On peut amorcer cette ouverture partielle par un petit projet pilote, inspiré du cas des camions de cuisine de rue à Montréal.
Le Gouvernement du Québec peut accorder un très petit nombre de permis aux meilleurs concepts de cavistes, c’est-à-dire aux boutiques qui offrent une valeur ajoutée et une nouveauté aux consommateurs. Exemples:
- Boutiques de produits québécois (vins, gins, vodka, etc.)
- Une boutique de whisky
- Une boutique qui offre vins italiens avec des produits italiens (pâtes, fromages, etc.)
- Une boutiques de bières internationales
- Une boutique de mixologie (gin, rhum, vodka, etc.)
Après un an ou deux de projet pilote, on peut alors juger s’il convient d’ouvrir le marché à d’autres cavistes originaux.
La ville de Montréal avait peur que les rues de Montréal soient envahies de baraques à hot dogs et à frites malodorantes et sales. Dans un premier temps, ils ont accordé un très petit nombre de permis de camions de cuisine de rue, basé sur la qualité gastronomique et l’originalité du concept. Et ce fut un grand succès! Je propose la même chose pour l’ouverture de la distribution des vins et des alcools au Québec.